Adieu l'ami
Publié le 14 Octobre 2009
Dix ans d'échanges de messages, irréguliers.
Une admiration à distance de ta force, de ton courage, de ta passion - rouge Ferrari -, de ton engagement, de cette énergie déployée pour que d'autres que toi puissent profiter, eux aussi, du plaisir des sports mécaniques, même en étant atteints d'une aussi grave maladie...
Des questions, des réponses, des silences aussi, à nous lire l'un et l'autre à distance.
Et puis, il y a 15 jours, le plaisir de faire enfin ta connaissance "In Real Life", dans une chambre d'hôpital.
Pas eu la chance d'entendre ta voix, mais de croiser tes regards, oui... et de profiter de tes sourires.
Essayer de te rassurer, de me rassurer, de prendre patience avant que tu ailles mieux et que tu puisses reparler.
Et hier, apprendre que tu es mort lundi matin.
Des mots en vrac.
Comme ma peine et ce qu'elle fait de moi.
Tu me manques, et tu me manqueras.
Je ne pourrai même pas venir à tes obsèques vendredi, mais je penserai à tous ceux qui seront là, à ta famille, à tes amis présents ou absents.
Adieu Patrice, Sogno di Cavallino, continue de rêver à des petits chevaux bondissant sur des carlingues écarlates, là-haut, où que tu sois...
Macha.
PS : il avait 35 ans......
Une admiration à distance de ta force, de ton courage, de ta passion - rouge Ferrari -, de ton engagement, de cette énergie déployée pour que d'autres que toi puissent profiter, eux aussi, du plaisir des sports mécaniques, même en étant atteints d'une aussi grave maladie...
Des questions, des réponses, des silences aussi, à nous lire l'un et l'autre à distance.
Et puis, il y a 15 jours, le plaisir de faire enfin ta connaissance "In Real Life", dans une chambre d'hôpital.
Pas eu la chance d'entendre ta voix, mais de croiser tes regards, oui... et de profiter de tes sourires.
Essayer de te rassurer, de me rassurer, de prendre patience avant que tu ailles mieux et que tu puisses reparler.
Et hier, apprendre que tu es mort lundi matin.
Des mots en vrac.
Comme ma peine et ce qu'elle fait de moi.
Tu me manques, et tu me manqueras.
Je ne pourrai même pas venir à tes obsèques vendredi, mais je penserai à tous ceux qui seront là, à ta famille, à tes amis présents ou absents.
Adieu Patrice, Sogno di Cavallino, continue de rêver à des petits chevaux bondissant sur des carlingues écarlates, là-haut, où que tu sois...
Macha.
PS : il avait 35 ans......